Déni de l’axe Rothschild-Macron : les journalistes mainstream jouent aux cons

Pris entre le chien du pouvoir et l’os du peuple, les journalistes mainstream soumis aux diktats de l’oligarchie entrevoient dans un éclair de lucidité la fin de leur propre pouvoir, eux qui sont pieds et poings liés à l’exécutif, lui-même lié à la Banque. Une réaction en chaîne plane sur leur tête…

Qui sème la répression récolte la répression

À l’occasion de la nuit bleue du 16 au 17 mars 2023, ce « 4 août » contemporain, les journalistes en charge de la parole publique et de sa répression ont commencé à trembler sur leurs bases. Parce que la rue, en fait, n’est pas si loin de leurs studios.

Certains se souviennent encore des samedis compliqués de 2018 et 2019, quand les Gilets jaunes encerclaient les immeubles de BFM TV et de France Télévisions : les valets du pouvoir n’osaient plus sortir pour couvrir les manifs, ou alors sans les bonnettes sur leurs micros…

À tout seigneur, tout honneur : on commence par Maxime Zwitek, monsieur BFM, qui tente mollement de culpabiliser Garrido, et, derrière elle, toute la contestation.

 

Du côté de chez LCI, c’est pas mieux avec ce pauvre Melnik – consultant ultralibéral en géopolitique – qui tente une Poutine (l’amalgame du moment) désespérée :


Toujours sur LCI, quand on interroge le prince arabe Turki, fils du grand Fayçal, on fait semblant d’être ignorant du 2P2M en matière de violation du droit international. Bref, on protège la politique raciste israélienne :

 

L’interview entière du 14 mars 2023 est ici.

Mais le clou du déni revient – sans surprise – aux journalistes de BFM TV, qui vont tiquer avec une mauvaise foi atomique sur la réalité de l’axe Rothschild-Macron, dénoncé par le brouillonnant leader cégétiste des Bouches-du-Rhône Olivier Mateu. C’est la nouvelle figure du combat social, de la résistance des travailleurs à la violence de l’oligarchie française. Mateu ne se laisse pas impressionner : il appuie là où ça fait mal.

 

On sent que la parole se libère. Là aussi, on a franchi un cap, c’est-à-dire qu’une peur est tombée. Dans la rue, les Français semblent ne plus avoir peur d’aller jusqu’au bout, face à l’intransigeance du pouvoir.

Et sur les plateaux, des propos autrefois bloqués par le mur de la censure passent. On dirait que la France déborde, de colère, mais aussi d’envie de liberté.

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