
Toutes les “pîtreries” que faisait autrefois ce garçon, ne m’ont jamais vraiment ni intéressé, ni amusé non plus d’ailleurs (parlez-moi de Louis de Funès, de Francis Blanche, ça ce sont de vrais très grands comiques pour nous autres Français moyens) pas plus que ses contorsions grotesques actuelles.
Franchement j’ai plus de peîne pour Lalanne, qui a prouvé son fort engagement anti-covid, et qui n’y va pas avec le dos de la cuillère, à l’égard de tous les gens qui nous hérissent : je continue donc à l’apprécier, je me balance complètement de ses choix pour aller passer le week-end.
Quant à Dieudo, je le plains d’avoir fait peu de cas de l’affection extrêmement précieuse que lui portait nombre de camarades, dans notre camp. Il en fera certainement un jour l’amère constatation, trop tardivement hélas pour lui !
Lien source : Dieudonné à Auschwitz